True crime : les mères les plus sadiques ...

Avant de débuter, il convient de noter en préambule de ce chapitre spécial « fête des Mères » le dimanche 4 juin que chaque crime est unique. Bien entendu, on adore nos mamans quand elles prennent soin de nous. Cet article n’a en aucun cas pour but d’encourager à la violence ou à minimiser les meurtres qui ont pu avoir lieu dans le monde entier. Ces actes atroces sont répréhensibles : une tragédie pour les familles et les victimes… Mais notre curiosité nous pousse à nous demander : comment est-ce possible d’en arriver à ce point ? Moi-même, La Petite Faucheuse, je l’ignore. Alors, qui sont ces génitrices qui ont franchi les limites du bien-fondé ? De celles à qui on ne souhaite pas « bonne fête des Mères » ?

Attention : cet article traite de sujets sensibles. Âme et cœurs légers, je vous déconseille sa lecture, car ces histoires sont bel et bien vraies malgré leur caractère absurde. Le Diable lui-même tremble face à ces affaires.

Enquêtes criminelles : quand la mère devient tueuse

L’humanité est complexe ! Bien entendu, il existe des cas de mères qui ont commis des crimes particulièrement violents et inimaginables, que ce soit envers leurs propres gamins, des proches ou d'autres personnes. Ces cas choquants ont souvent fait la une des journaux et ont attiré l'attention du public et c’est bien compréhensible…

L'un des exemples les plus connus de mères qui ont passé à l'acte est probablement celui de Susan Smith, une mère de deux jeunes enfants qui a été condamnée pour avoir noyé ses petits dans un lac en 1994. Elle a prétendu que ces derniers avaient été kidnappés, mais elle a finalement avoué le meurtre. Son histoire a suscité un débat national sur la santé mentale des mères et la violence domestique. Bientôt un permis pour faire des bébés ? Ce n’est qu’une proposition.

Parmi les plus connus, celui de Diane Downs, une mère qui a été reconnue coupable d'avoir tiré sur ses trois enfants en 1983, tuant l'un d'entre eux et en laissant les deux autres paralysés. Elle a également prétendu que ses innocentes victimes avaient été blessées, à cause d'une attaque de voiture, mais des preuves ont finalement révélé qu'elle avait utilisé une arme à feu sur eux. Le cas de Downs a aussi suscité des débats sur la santé mentale et la violence domestique… Les criminels avouent rarement leurs actes et inventent souvent des mensonges pour éviter la case prison. Mais la vérité doit toujours l’emporter et justice doit être faite pour que les morts reposent en paix.

Évoquons donc le nom de Darlie Routier, une mère de trois petits qui a été condamnée à la potence en 1997 pour le meurtre de deux de ses enfants. Elle a affirmé qu'ils avaient été massacrés par un intrus, mais des preuves ont finalement suggéré qu'elle était la coupable

En France, le cas de Véronique Courjault a également suscité une énorme vague d’indignation et l'incompréhension. En 2006, elle a avoué avoir tué ses trois nouveau-nés et les avoir conservés dans un congélateur pendant plusieurs années. Alors… La question éthique se pose : est-ce que la santé mentale doit être pointée du doigt, plutôt que la personne ?

Ces exemples sont tous choquants et déchirants. D’autant plus que les femmes sont majoritairement victimes de violences conjugales, et ce style de scénario fait vraiment frissonner. Ces enquêtes sont fascinantes, car elles nous poussent à nous interroger sur notre entourage.

L’assassinat dans la fiction…

Dans le genre de l'horreur, les mères tueuses sont souvent représentées comme des figures effrayantes et monstrueuses, capables des pires cruautés envers leurs propres enfants. Un exemple notable est celui de la mère de Norman Bates dans le film Psychose d'Alfred Hitchcock, qui a commis des meurtres en série et a finalement été tuée par son fils. Cette image a inspiré de nombreuses autres œuvres d'horreur, comme l’excellente série télévisée Bates Motel, qui raconte l'histoire de Norman Bates et de sa mère avant les événements du film. Vera Farmiga est aussi l’actrice qui incarne la formidable chasseuse de fantômes et médium Lorraine Warren dans la saga Conjuring.

Impossible d’imaginer la scène mémorable de Carrie, l’adaptation du livre de Stephen King – dans ce film de de Palma, la mère tente de se débarrasser de sa fille, persuadée que cette dernière est possédée par le Diable.

Enfin, peut-on oublier l’une des plus célèbres tueuses en série ? Pamela, la mère de Jason dans Vendredi 13 ? Elle se venge des moniteurs de Crystal Lake, après la noyade de son fils et a plus d’un tour dans son sac…

En conclusion, rappelons que ces représentations de mères tueuses dans la fiction ne doivent pas être prises comme des exemples réalistes et crédibles, même si certains films s’inspirent de faits réels. Les enquêtes criminelles sur les mères tueuses dans le monde réel sont souvent beaucoup plus complexes et nuancées que celles présentées dans les arts. Heureusement pour toutes les mères sur cette planète, c’est surtout l’instant de recevoir des cadeaux pour avoir réussi à accoucher. Quelle épreuve quand même ! Bonnes fêtes à toutes les mamans !

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